C¹est le temps que tu as passé pour ta rose..
C¹EST en songeant à toi que j’écris quelques mots :
LE train t¹avait lâché, un jour, toi l’étrangère
TEMPS déjà bien lointains, mais combien optimaux,
QUE j¹y songe toujours sans idée mensongère.
TU semblais seule au monde parmi des animaux :
" AS tu un peu de feu pour une passagère ? "
PERDU également, je l¹étais près de Meaux.
POUR te sortir de là, je pris ta main légèreŠ
TA robe n¹allait pas sur ton collier d¹ormeau
ROSE comme ta peau trop pâle de mégère
QUI faisait tant mentir ton regard de marmot
FAIT de pleurs et d¹amours, puis d’espoir qui suggère
TA vie, je l¹ai changée, comme un frère jumeau :
ROSE mais souvent rude, pour que tu sois lingère ;
SI je n¹ai pas osé, ne me jette aucun maux !
IMPORTANTE blessure, tenace messagère.
Robert B.